Lundi 20 novembre 1 20 /11 /Nov 00:00

La soumise et comme un chiens (ou une chienne). Il faut donc habituer des le début à porter le colliez dans les 1er jour de soumission.

 

 Il faux toujours plusieurs taille de collier :

 

 Pour l’extérieure :

Un petit collier (assez discrets mais qui doit quand même ce voir) pour qu’elle oublie jamais ce qu’elle est, a tout moment de la journée, même au travaille.

 

 Pour la maison :

Un gros collier pour toutes les séances de dressage ou pour les punition.

Un moyen pour le reste du temps.

 

 

Biens sur pour la maison ne pas oublie la laisse en permanence.

 

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Dimanche 19 novembre 7 19 /11 /Nov 00:00

Qu'on soit soumise, fautive ou pudique (surtout), il faut perdre l'habitude de se cacher. Et ce n'est pas facile. Voici une liste de situations qui méritent un changement d'attitude, comme autant d'exercices à faire et refaire...



Exercice : S'habiller dans l'ordre
Une femme pudique qui est nue commence par mettre un slip, puis un soutien-gorge, puis le reste. C'est une habitude à perdre. D'abord, elle doit rester nue quelques minutes, ce temps pouvant être consacré au brossage des dents par exemple. Ensuite, elle doit commencer par le haut (soutien-gorge conforme, haut) puis se brosser les cheveux, prendre soin de son visage. Après, elle pourra finir de s'habiller. De temps à autre, elle inversera l'ordre du haut et du bas.



Exercice : S'habiller dans l'ordre, niveau 2
A la piscine, dans le vestaire des femmes, la pudeur n'a pas sa place, et il n'est donc pas nécessaire d'utiliser une cabine. En arrivant, on se déshabille entièrement, on enfile soit le haut, soit le bas du maillot de bain, on range tranquillement ses affaires, et après seulement, on enfile l'autre pièce. Au retour, on enlève les deux pièces, on se sèche et on fait comme le matin dans la salle de bains...


Exercice : Soins des pieds
Voilà une bonne occasion de s'améliorer. Habillée en haut seulement, jusqu'au nombril, la patiente s'assied par terre, en tailleur face à une glace, de manière à s'habituer à cette position impudique et à la vue prolongée de son sexe.



Exercice : Se pencher
Lorsqu'une femme porte un haut ample et un tant soit peu décolleté et qu'elle se penche en avant, on peut voir sa lingerie, ou ses seins C'est pourquoi, avec ce type de vêtement, les femmes ont tendance à mettre la main pour empêcher le haut de baîller, et a utiliser un soutien-gorge classique et opaque, au cas où. Dans un premier temps, il faudra perdre l'habitude de mettre la main : en faisant ses courses dans un centre commercial bondé, la patiente se penchera à chaque article qu'elle mettra dans le caddie, à chaque article au passage en caisse. Elle sera autorisée faire plusieurs fois l'exercice avec un soutien-gorge, puis elle devra le faire sans. 

Exercice : Bien se tenir
Lorsqu'une femme porte une jupe courte, elle passe son temps à s'en préoccuper, elle se tient mal, de peur qu'on aperçoive sa petite culotte. L'entraînement va consister à multiplier les petites sorties minijupe et sexe nu : comme toujours, on choisira une tenue sobre, il n'est pas question d'allumer tout le quartier. Il s'agira de monter et descendre des escaliers, des escalators, sans toucher la jupe, de ramasser un objet au sol, de croiser et décroiser les jambes naturellement, assise en terrasse. Si le temps est trop frais, on admettra un collant



Exercice : Se déshabiller aussi à l'extérieur.
L'extérieur a tendance à générer la pudeur, il faut s'en prémunir par des exercices réguliers de mise à nu : dans le jardin, sur le balcon, dans la campagne… On pourra aussi procéder à des dénudations partielles et des contrôles de sous-vêtements dans la rue, les parkings, dans la voiture aussi. L'été, la toilette à l'extérieur est tout à fait recommandée



Exercice : Se montrer aux femmes habillées
Il y a toujours à se changer en discutant avec une ou plusieurs copines. Quand on est en retard et que la représentante qu'on a fait venir est là, on a bien mérité de s'habiller devant elle. Et puis on peut accueillir des présentations de lingerie, c'est l'occasion de se dénuder un peu devant des inconnues



Exercice : Faire pointer soi-même ses tétons.
Il s'agit d'un exercice important, puisque le geste est particulièrement impudique. En cas de forte concentration de personnes, et dans ce cas seulement, on admettra que la stimulation se fasse par dessous les vêtements. Lorsque les deux techniques sont impossibles (rappel : la soumise n'est pas une allumeuse), un détour par les lavabos permettra une stimulation par eau fraîche

(La photo n’ai pas bonne mais imaginer que ce vos main et non les mains d’une autre personne)


Exercice : La masturbation à la demande.
La soumise ne peut refuser. Toutes affaires cessantes, elle doit se dévêtir et commencer à se caresser. On n'hésitera pas à la frustrer plusieurs fois de suite, car elle doit savoir se contrôler : elle doit lâcher son sexe à la première injonction. On augmentera la difficulté de l'arrêt par des caresses sur les seins et à l'intérieur des cuisses, en s'approchant très près du sexe mais sans l'atteindre

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Vendredi 17 novembre 5 17 /11 /Nov 00:00

DEUX MONDES SEPARES

Selon Daniel Welzer-Lang, maître de conférence en sociologie à l'université de Toulouse et spécialiste de la construction sociale de la sexualité. "Le modèle du couple à la vie à la mort a pris l'eau. Les nouvelles pratiques sexuelles sont le reflet d'une interrogation sociale sur la sexualité, la cellule familiale, la fidélité, etc. Mais il ne s'agit pas pour autant d'un hymne à l'infidélité. Au contraire, les couples échangistes ou sadomasochistes se disent fidèles, puisque l'autre n'est pas "trompé", il est même associé aux jeux sexuels qu'il partage. Ces pratiques reflètent plutôt une montée de l'individualisme au sein du couple et une extension du commerce au domaine relationnel. La disparition des lieux de drague a laissé la place à la marchandisation de cette intimité, surfant sur le "il faut tout essayer"

"Dans le libertinage et l'échangisme,l'excitation et le désir sont produit par le déroulement d'un scénario attendu qui met en scène une sexualité seule, en couple ou en réseau. Pour les échangistes, le réseau est au coeur des relations sexuelles mais pas uniquement. Si après la rencontre, les couples passent rapidement à l'acte, ils peuvent ensuite devenir amis et se revoir pour dîner ensemble sans forcément avoir des relations sexuelles. La sexualité est alors une mise en contact."

Pour le sadomasochisme, cette « démocratisation » est moins évidente. Il y a moins de clubs et les pratiques sont plus limitées. On peut constater une certaine porosité des frontières entre échangisme et SM : il y a souvent une croix de Saint-André et une paire de menottes accessibles dans les clubs échangistes. Mais il s'agit là de SM soft. Par ailleurs, cette porosité des frontières a même envahi l'intimité "ordinaire" : la fessée, la flagellation ou les menottes ne sont plus des pratiques exceptionnelles chez les couples. A contrario, la fréquentation des clubs sadomasochistes reste marginale.

Si le sexe au coeur de l'échangisme peut séduire un grand nombre de couples, le sadomasochisme n'est pas forcément lié au sexe. Très souvent intellectualisé et scénarisé avec des maîtres et des esclaves, il est plus centré autour de la sensation de soumission ou de domination et de douleur.

La milieu sadomasochiste ne semble pas souffrir des même travers que le milieu échangiste. Il peut y avoir, en effet, une inversion des positions, ainsi les hommes qui sont meneurs et demandeur dans la relation échangiste , peuvent être soumis même si selon plusieurs études sociologiques, on se rend compte qu'ils gardent souvent le pouvoir lors de la relation (l'initiative du scénario…). Au Japon, où l'on compte plus de 600 clubs sadomasochistes. Beaucoup plus répandus qu'en France, ces clubs accueillent des cadres stressés qui viennent s'y détendre en tant que soumis. La diffusion massive de cette pratique est facilitée par des modèles culturels différents de ceux ayant cours en Occident.

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Vendredi 17 novembre 5 17 /11 /Nov 00:00

Marquis de Sade
(1740 - 1814)

 

 

 

Donatien-Alphonse-François de Sade naît à Paris le 2 juin 1740. Il est le descendant d'une vieille et prestigieuse famille de l'aristocratie de Provence. A 14 ans, il entre dans une école militaire réservée aux fils de la plus ancienne noblesse et, sous-lieutenant un an plus tard, participe à la guerre de Sept ans contre la Prusse. Il y brille par son courage, mais aussi par son goût pour la débauche. Revenu, en 1763, avec le grade de capitaine, il fréquente les actrices de théâtre et les courtisanes. Son père, pour y mettre fin, cherche à le marier au plus vite.

 

Le 17 mai 1763, il épouse Mlle de Montreuil, de noblesse récente, mais fortunée. Il ne s'en assagit pas pour autant et fait, dans la même année, son premier séjour en prison pour « débauches outrées ». En 1768, il est à nouveau incarcéré six mois pour avoir enlevé et torturé une passante. Il donne fêtes et bals dans son domaine provençal de La Coste , voyage en Italie, notamment avec sa belle-sœur, dont il s'est épris. A Marseille, en 1772, il est accusé d'empoisonnement (il avait en fait distribué, lors d'une orgie, des dragées aphrodisiaques à quatre prostituées qui avaient rendu malade l'une d'entre elles) et doit s'enfuir en Savoie. Condamné à mort par contumace, il est arrêté, s'évade, puis cinq ans plus tard (au cours desquels il alterne voyages et scandales), il est arrêté à Paris où il était venu régler ses affaires à la suite du décès de sa mère.

 

Malgré les interventions de sa femme, il va passer cinq années dans le donjon de Vincennes, écrivant pièces de théâtre et romans pour tromper son ennui, avant d'être transféré à la Bastille où il commence la rédaction des Cent vingt journées de Sodome (1785) puis, deux ans plus tard, Les infortunes de la vertu et Aline et Valcour. En juillet 1789, dix jours avant la prise de la bastille, il est transféré à Charenton, dans un asile de fous. Il doit abandonner sa bibliothèque de six cents volumes et ses manuscrits.

 

Il recouvre la liberté, accordée à toutes les victimes de lettres de cachet, en 1790. Sa femme, lasse de ses violences, obtient la séparation. Ses deux fils émigrent. Pour survivre dans le Paris révolutionnaire - ses biens, en Provence, ont été pillés et mis sous séquestre - il cherche à faire jouer ses pièces, se lie avec une jeune actrice, Marie Constance Quesnet, qui lui restera fidèle jusqu'au bout. Justine ou les malheurs de la vertu est publié - anonymement - en 1791.

 

Pour faire oublier ses origines nobles, il milite dans la section révolutionnaire de son quartier. Mais son zèle n'est-il pas assez convaincant ? Fin 1793, il est arrêté et condamné à mort. Oublié dans sa geôle à la suite d'une erreur administrative, il échappe à la guillotine et est libéré en octobre 1794.

 

Vivant chichement - ses seuls revenus sont ses écrits - il publie en 1795 La philosophie dans le boudoir, Aline et Valcour, La nouvelle Justine et Juliette (Justine et Juliette sont deux sœurs, l'une incarnant la vertu, l'autre le vice, qui subissent des aventures où la luxure le dispute à la cruauté). La presse l'accuse d'être l'auteur de « l'infâme roman » Justine. Il s'en défend maladroitement. En 1801, la police saisit ses ouvrages chez son imprimeur. On ne lui pardonne pas sa violence érotique, son « délire du vice », sa pornographie. Sans jugement, par simple décision administrative, il est enfermé dans l'asile de fous de Charenton. Il va, qualifié de « fou » mais parfaitement lucide, malgré ses suppliques et ses protestations, y mourir le 1er décembre 1814 sans jamais retrouver la liberté. Cet esprit libre, sur ses 74 années de sa vie, en aura passé 30 en prison.

 

Ses descendants refuseront de porter le titre de marquis, et il faudra attendre le milieu du XXe siècle pour que son œuvre, dans laquelle il a ouvert la voie à la psychologie sexuelle moderne, soit « réhabilitée ».

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Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 00:00

Avent tout chose oublier pas de vous inscrire sur ma Newsletter, ce Gratuit et vous ne serai pas dessus si vous aime le BDSM

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Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 00:00

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